SoftSkills, UpSkills et Reskilling : entrez en matière.
reskilling, upskilling et softskills : il s’agit là des trois mots clés qui sont utilisés pour décrire l’effet produit par le progrès technologique sur le travail. Nous allons voir dans les articles suivants ce que sont ces concepts et les conséquences qu’ils ont sur nos vies de travail.
Mais avant d’aller plus loin, voyons dans l’article suivant quelle est la signification de ces trois concepts.
1. SoftSkills, UpSkills et Reskilling : qu’est-ce que c’est ?
Nous avons d’abord le concept de softskills, qui désigne les compétences sociales, les capacités à communiquer, à travailler en équipe, à être créatif, etc. Des compétences qui ne sont pas très techniques mais qui ont une importance capitale pour le succès des entreprises.
Vous avez ensuite le concept d’upskilling : il s’agit de la formation des travailleurs afin qu’ils puissent utiliser les nouveaux outils et les nouvelles technologies qui sont développées.
Enfin vous avez le concept de reskilling, qui est l’acquisition de nouvelles compétences pour se rajeunir et se réorienter dans un nouveau métier.
Ces trois concepts sont très importants à connaître car ils vont vous permettre de mieux comprendre l’évolution du travail et de vous y préparer.
Les trois concepts vous permettent également de mieux comprendre quels sont les métiers qui seront recherchés dans le futur et quelles seront les nouvelles technologies qui feront bouger les choses.
Nous allons maintenant voir comment ces concepts ont des conséquences sur vos carrières et votre capacité à rester employé.
Les impacts sur les carrières
Le premier impact que cela a sur vos carrières, c’est que vous allez être amené à repenser votre parcours, et à revoir vos revendications.
Quand vous êtes en entreprise depuis plusieurs années, vous avez un certain nombre de compétences et de savoir-faire, et vous pensez pouvoir les utiliser dans votre métier, que ce soit dans l’industrie, la banque, etc.
Et puis, il y a toutes les nouvelles technologies qui sont développées, qui supplantent les anciennes et qui là encore vous font penser que vous pouvez faire un autre métier que celui que vous faites actuellement.
Et puis il y a les nouveaux métiers, qui se créent et qui vous font penser que vous pourrez vous y diriger.
Et lorsque ces nouvelles technologies arrivent, que ces nouveaux métiers se créent, vous commencez à penser que vous pourriez les exercer.
Mais dans le monde du travail, les choses sont différentes d’avec ce que vous pouviez imaginer.
Vous ne pouvez pas faire toutes les choses que vous pensiez pouvoir faire.
Dans certains cas, vous aurez le choix à faire : soit vous restez dans ce que vous faites, et vous ne pourrez pas faire un autre métier, soit vous allez en changer, mais vous ne pourrez pas faire les deux.
C’est comme ça !!
Mais si votre but est de jouer la sécurité, alors dans ce cas là, il faut que vous restiez dans ce que vous faites.
2. Les SoftSkills, clés de la réussite professionnelle.
On peut les définir de la façon suivante :
« Les softskills sont des compétences sociales qui permettent de gérer les relations au quotidien avec les autres. Il s’agit de compétences relationnelles, d’esprit d’équipe, d’intégration, de communication, de négociation, d’organisation et d’ingénierie sociale. »
Vous avez donc compris que cela concerne les relations avec vos collègues, vos supérieurs ou vos collaborateurs. Les softskills permettent de travailler avec des gens, et c’est ce qui vous permettra d’avancer dans votre carrière.
Les compétences sociales permettent d’interagir dans tous les cercles sociaux que vous fréquentez :
– vos relations de voisinage : avec votre famille, vos voisins, vos amis, vos relations d’affaires, …
– vos relations de travail : avec vos collègues de travail, vos supérieurs hiérarchiques, vos clients, …
– vos relations d’entreprise : avec les membres du conseil d’administration, avec le personnel d’encadrement, avec les salariés et leur famille, avec les fournisseurs de biens et de services, …
Les softskills sont donc les clés de la réussite professionnelle.
Quand on parle de softskills, il faut bien comprendre que vous n’avez pas forcément besoin de sentiments pour travailler en collaboration avec des gens. Cela ne veut pas dire qu’il ne vous demande pas de l’empathie, mais que vous pouvez très bien travailler avec des gens sans les apprécier personnellement.
Dans la vie professionnelle, il est donc non seulement possible, mais nécessaire d’avoir des relations professionnelles sans être amis.
Il faut savoir que les relations sont toujours de deux types : les relations d’équipe et les relations hiérarchiques.
Les relations d’équipe se forment entre des personnes « égales » (les collègues par exemple), tandis que les relations hiérarchiques sont celles qui se forment entre un supérieur et un subordonné.
Pour donner un exemple rapide : si vous êtes chef de projet , vous avez des relations d’équipe avec les gens de votre équipe de projet, et des relations hiérarchiques avec le manager de votre direction.
Les relations d’équipe peuvent être très intéressantes car elles sont souvent l’occasion de vous faire des amis proches. Mais si vous voulez que cette belle relation d’équipe se transforme en relation hiérarchique, je vous conseille de faire très attention aux erreurs suivantes :
1/ Ne pas respecter les règles du jeu :
Si vous avez une relation d’équipe avec quelqu’un, il est important de respecter les règles du jeu. Cela veut dire :
• Faire preuve de respect envers le poste de l’autre ou sa personne.
• Ne pas se moquer, ne pas faire la morale à votre collègue.
• Être à l’écoute et tenter d’apporter un soutien quand cela est nécessaire.
2/ Ne pas établir de frontières :
Il y a des moments où vous avez besoin d’être un supérieur clair, et d’autres où vous pouvez être simplement votre meilleur ami. Mais il faut établir ces frontières, car si vous vous comportez simplement comme un ami pendant les réunions de travail, vous risquez de le devenir vraiment !
3/ Ne pas respecter la hiérarchie :
Si vous avez une relation d’équipe avec quelqu’un,vous pouvez avoir une plus grande intimité que la hiérarchie vous le permet. Cela ne veut pas dire que vous devez vous comporter comme s’il n’y avait pas de hiérarchie et que cette personne était votre meilleur ami, mais vous ne devez pas lui faire des remarques sur son comportement. Vous devez respecter sa position dans la hiérarchie.
En plus des compétences techniques que vous avez acquises, vous avez des SoftSkills que vous avez apprises lors de votre cursus.
S’il y a des SoftSkills que vous avez acquis dans votre parcours professionnel, c’est souvent parce que quelqu’un vous l’a appris, à l’occasion d’une formation, d’une pratique ou encore d’un stage.
Ces SoftSkills sont des compétences sociales que tout le monde doit avoir pour réussir sa vie et son parcours professionnel.
C’est une nécessité.
Mais contrairement aux compétences techniques, vous n’êtes pas forcément conscient de les posséder ou de ne pas les posséder.
Dans votre carrière, quelles SoftSkills avez-vous acquises ?
Vous pouvez vous en rendre compte en faisant le point sur votre carrière et vos expériences professionnelles :
- Quand et comment ont elles eu lieu ?
- Qui vous a aidé à les acquérir ?
- Quels SoftSkills possèdez-vous ?
- Quelles SoftSkills avez-vous acquises pendant votre cursus ?
- Quelles SoftSkills avez-vous acquises pendant vos stages ?
- Quelles SoftSkills avez-vous acquises pendant vos missions en entreprise ?
- Quelles SoftSkills avez-vous acquises pendant vos missions de volontaire, de bénévolat, etc. ?
- Quelles SoftSkills avez-vous acquises pendant vos voyages ?
Les compétences sociales représentent un ensemble de connaissances, de savoir-être et de savoir-faire.
3. Les UpSkills: un investissement pour demain
Les SoftSkills sont souvent désignées et représentées par des termes anglais comme :
- SoftSkills,
- Social Skills,
- Emotional Intelligence (EI),
- Social Competences,
- Social Abilities,
- Social Know-How,
- Social Competences,
- Personality Traits,
- Interpersonal Skills, etc.
Les compétences sociales (SoftSkills) sont une simple partie de l’intelligence émotionnelle. L’intelligence émotionnelle est un concept apparu dans les années 1990. Il s’agit d’une théorie adoptée par le département des ressources humaines pour mieux gérer la performance individuelle et collective, pour développer la compétence managériale et pour faciliter le développement de l’innovation et du leadership.
L’intelligence émotionnelle est le produit de trois facteurs : les compétences, les capacités et les connaissances.
Les compétences sociales représentent un ensemble de connaissances, de savoir-être et de savoir-faire qui permettent d’interagir en toute confiance et en toute harmonie avec autrui. Elles sont le coeur de l’intelligence émotionnelle.
Une des plus grandes différences entre l’intelligence émotionnelle et les compétences sociales réside dans le fait qu’une personne peut être très intelligente (intellectuellement) sans disposer de compétences sociales, alors qu’il est impossible de posséder des compétences sociales sans être intelligent d’une façon ou d’une autre.
4. Reskilling : comment se préparer ?
Grâce à l’intelligence émotionnelle, le manager peut comprendre les comportements de ses collaborateurs, identifier leurs besoins et répondre de manière adaptée à leurs attentes. Il est ainsi en mesure de développer son leadership, son influence et son charisme.
L’intelligence émotionnelle est un ensemble de compétences sociales qui permettent à l’individu d’interagir en toute confiance et en toute harmonie avec autrui. Elle joue un rôle essentiel dans la qualité du management et dans la performance de l’entreprise.
Cependant, l’intelligence sociale n’est pas innée, elle est acquise et par conséquent, elle peut être ressourcée (exercée) à tout moment.
En effet, l’intelligence émotionnelle est composée de deux types de compétences :
- Les compétences relationnelles qui relèvent des aptitudes relationnelles et du savoir-être ;
- Les compétences communicationnelles qui relèvent des aptitudes à communiquer.
De même que les outils informatiques, l’intelligence émotionnelle s’apprend, s’entraîne et s’améliore.
L’intelligence émotionnelle peut être développée à tout âge, par tout individu, aussi bien en entreprise qu’en dehors de celle-ci.
L’intelligence émotionnelle est un ensemble de compétences qui vont permettre à l’individu d’interagir en toute confiance et en toute harmonie avec autrui. Elle joue un rôle essentiel dans la qualité du management et dans la performance de l’entreprise.
Cependant, l’intelligence sociale n’est pas innée, elle est acquise et par conséquent, elle peut être ressourcée (exercée) à tout moment.
En effet, l’intelligence émotionnelle est composée de deux types de compétences :
Les compétences relationnelles qui relèvent des aptitudes relationnelles et du savoir-être ;
Les compétences communicationnelles qui relèvent des aptitudes à communiquer.
De même que les outils informatiques, l’intelligence émotionnelle s’apprend, s’entraîne et s’améliore.
L’intelligence émotionnelle peut être développée à tout âge, par tout individu, aussi bien en entreprise qu’en dehors de celle-ci.
L’intelligence émotionnelle est un ensemble de compétences qui vont permettre à l’individu d’interagir en toute confiance et en toute harmonie avec autrui. Elle joue un rôle essentiel dans la qualité du management et dans la performance de l’entreprise.
Cependant, l’intelligence sociale n’est pas innée, elle est acquise et par conséquent, elle peut être ressourcée (exercée) à tout moment.
Conclusion
L’intelligence émotionnelle est un ensemble de compétences qui vont permettre à l’individu d’interagir en toute confiance et en toute harmonie avec autrui. Elle joue un rôle essentiel dans la qualité du management et dans la performance de l’entreprise.
Cependant, l’intelligence sociale n’est pas innée, elle est acquise et par conséquent, elle peut être ressourcée (exercée) à tout moment.
La dimension psychologique de la théorie de l’intelligence émotionnelle est importante. L’intelligence émotionnelle est une compétence qui a pour objectif l’apprentissage des émotions et la gestion des émotions.
La dimension émotionnelle et relationnelle de l’intelligence émotionnelle est primordiale. L’intelligence émotionnelle permet d’être plus à même de comprendre les autres, de les respecter, d’établir des relations de confiance et de s’ouvrir aux autres.
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr